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Tenue professionnelle en M&A, Private Equity et Conseil : Guide des meilleures marques et conseils vestimentaires 2025

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Tenue professionnelle en M&A, Private Equity et Conseil : Guide des meilleures marques et conseils vestimentaires 2025

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S’habiller correctement n’est pas une coquetterie dans les métiers de la banque d’affaires, du private equity ou du conseil en stratégie. C’est même un prérequis. Un professionnel bien habillé donne immédiatement un signal de sérieux, de discipline, et surtout, de compréhension des codes du secteur dans lequel il évolue.

À Paris comme à Londres, il existe des attentes implicites : un costume froissé, une chemise mal coupée, ou des chaussures bon marché peuvent suffire à entacher une première impression, y compris de manière inconsciente.

Et à l’inverse, un look trop excentrique, une marque trop tape-à-l’œil ou un style trop « start-up » dans un environnement très normé peuvent vous desservir. Cela vaut pour les juniors en M&A, les stagiaires chez Bain, comme pour les principals dans un fonds.

Ce guide n’a pas été rédigé par un blog mode. Il est issu d’une analyse de terrain, nourrie par des retours concrets de professionnels à tous les niveaux : stagiaires, analystes, VP, partners – hommes et femmes – évoluant dans les meilleures institutions du marché. Les messages ont été collectés anonymement via Instagram, regroupés, recoupés, puis confrontés à des standards de qualité objectifs. Chaque recommandation est motivée, chaque critique est sourcée.

L’objectif : proposer un benchmark clair, critique et crédible, organisé de manière rigoureuse, avec des recommandations précises, des adresses parisiennes, des gammes de prix, et un esprit de conseil digne du milieu auquel ce guide s’adresse.

Tous droits de reproduction réservés.

Costumes pour hommes : quelles marques choisir selon votre budget et votre poste ?

Dans un environnement professionnel comme le M&A, le Private Equity ou le conseil en stratégie, le costume reste un standard de crédibilité. Si certains cabinets (notamment en stratégie) ont relâché les codes en interne, l’exigence reste totale en client-facing et lors des entretiens. Savoir choisir son costume, c’est maîtriser l’équilibre entre sobriété, justesse de la coupe et durabilité des matières.

Voici les meilleures options selon les budgets, enrichies d’une analyse critique fondée sur les retours d’expérience de professionnels en poste.

Entrée de gamme (moins de 500 €)

Pour un stagiaire en banque, un analyste first-year, ou un jeune consultant en stratégie, il est souvent hors de question de dépasser un budget de 500 € tout compris. À ce niveau de prix, le défi est d’obtenir une coupe correcte, sans sacrifier la tenue du tissu au bout de quelques portés.

Suitsupply s’impose ici comme un leader incontesté. Très majoritairement recommandé, le modèle Havana ou Lazio est apprécié pour sa coupe contemporaine et son tombé professionnel. Boutique : 18 rue de la Paix, 75002 Paris.
Cependant, certains retours signalent une coupe trop ajustée, voire limite « start-up » sur certaines lignes.

Boggi Milano revient souvent dans les recommandations. Plus classique que Suitsupply, la coupe y est légèrement plus ample, les tissus corrects sans être mémorables. En soldes, on reste sous les 450 €. Adresse : 8 Rue Marbeuf, 75008. Une alternative sérieuse, mais parfois perçue comme « lisse » ou « sans personnalité ».

Jonas & Cie est une maison familiale souvent évoquée comme un bon plan discret. On y trouve des costumes simples, bien coupés, aux alentours de 300–400 €. Les retours insistent sur la gentillesse du service, mais certains professionnels jugent la matière « trop légère » pour un usage quotidien intensif. À considérer pour un premier stage.

Father & Sons est également mentionnée comme une option à considérer dans cette gamme de prix. Plusieurs retours soulignent une coupe correcte, un bon niveau de service en boutique, et un rapport qualité/prix jugé « très convenable » pour un premier stage ou un usage ponctuel. Toutefois, certains avis pointent une tenue moyenne du tissu après plusieurs ports et un rendu parfois « rigide ». À envisager avec discernement, notamment en période de soldes.

Danyberd est également cité comme un bon plan confidentiel pour les budgets très contraints. Plusieurs retours soulignent un rapport qualité/prix très compétitif, avec des tissus italiens, des coupes correctes, et des modèles bien adaptés pour un premier entretien ou une alternance. À noter : le choix est limité, mais les professionnels en banque d’affaires saluent une offre simple, claire et efficace autour de 250–300 €.

B Garbo, marque peu connue du grand public, est mentionnée dans certains retours pour son bon positionnement qualité/prix. Le style est discret, la construction simple, mais suffisante pour un usage ponctuel ou un premier stage. À envisager comme une option secondaire si l’on privilégie la sobriété à moindre coût.

Gambler est citée par certains professionnels comme une marque peu connue, mais au très bon rapport qualité/prix. La coupe est correcte, le rendu jugé professionnel, et la qualité des tissus saluée pour le prix. À explorer pour un équipement ponctuel sans compromis stylistique.

Comptoir GL est également recommandé dans les retours récents comme une alternative intéressante à petit budget. Bien qu’assez confidentielle, la marque propose des costumes classiques à des tarifs raisonnables, avec un rendu jugé professionnel pour des profils juniors.

Blandin & Delloye est également plébiscité dans cette gamme, notamment pour leurs costumes sur mesure à prix abordable. Le service est très apprécié, et le rendu final largement au-dessus de la moyenne dans cette gamme de prix. Une excellente porte d’entrée dans l’univers du tailoring personnalisé.

En dessous, les options comme Coriolan, Armand Thierry ou Devred ont été mentionnées… pour être évitées. La coupe est datée, la tenue discutable, et la réputation mauvaise auprès des recruteurs.

Certains recommandent aussi KB Stock, qui revend des pièces de grandes marques à prix cassés. Plusieurs professionnels y ont trouvé des costumes de maisons réputées à moitié prix. L’offre varie selon les arrivages, mais cela vaut clairement le détour en période de soldes. À explorer si vous êtes à l’aise avec le format outlet et que vous avez une idée précise en tête.

Plusieurs professionnels recommandent Vinted comme option ultra-rationnelle pour les petits budgets. On y trouve du neuf ou de l’occasion premium, à prix cassé : costumes Boggi, chemises Figaret ou cravates Drake’s. Conseil d’initié : allez en boutique pour déterminer votre taille exacte, puis achetez en seconde main. Cela permet de porter des pièces haut de gamme pour moins de 150 € l’ensemble costume + chemise.

Enfin, pour ceux en déplacement en Asie (Thaïlande, Vietnam, Hong Kong), le sur-mesure peut être une bonne affaire. Les tailleurs asiatiques sont souvent mentionnés par des consultants ou banquiers en expatriation. On y obtient 2–3 costumes et chemises en mesure pour moins de 500 €, mais le résultat dépend intégralement du tissu et du brief initial. Certains appellent à la vigilance lorsqu’il s’agit de prix d’appel de 100 € pour 2 costumes en 24 heures, car cela souligne la médiocrité des tissus, souvent mal coupés et en matières bas de gamme. À partir de 300 €, on peut obtenir une vraie grande mesure avec de beaux tissus, et possibilité de recommander ensuite à distance. À envisager uniquement si vous êtes déjà bien informé.

Milieu de gamme (500 – 900 €)

C’est le budget idéal pour un junior qui veut investir sur 2–3 costumes de bonne facture, capables de tenir 3 à 4 ans, y compris lors de roadshows ou présentations clients.

Pini Parma se distingue nettement dans cette gamme de prix. La marque est saluée pour la qualité supérieure de ses tissus, systématiquement italiens (au minimum Reda ou VBC, et parfois Loro Piana ou Fratelli Tallia di Delfino), et une confection rigoureusement assurée en Italie. Les costumes sont semi-entoilés, au tombé fluide, avec une esthétique très soignée : revers larges, épaule naturelle, finitions nettes. À ce niveau de raffinement, certains professionnels estiment qu’il est difficile de lui opposer une alternative crédible en prêt-à-porter. Pour un budget situé autour de 700 à 1 000 €, Pini Parma offre un rapport qualité/fabrication nettement supérieur à Fursac, avec une vraie lisibilité sur les ateliers, les tissus et les standards de production.

Fursac, de son côté, reste une marque connue mais très clivante parmi les professionnels. Si la coupe française et les coloris classiques peuvent convenir à certains profils, de nombreux retours critiquent une qualité de confection inégale, un manque de visibilité sur l’origine des tissus et des ateliers, et des prix jugés élevés hors périodes de soldes. À considérer uniquement en promotions, pour les pièces les plus sobres. En comparaison directe, la marque ne soutient pas la comparaison avec la rigueur et la transparence de Pini Parma.

Evalon, petite maison située 10 rue d’Aboukir, propose du demi-mesure portugais à des tarifs très compétitifs (entre 450 et 650 €). Plébiscité pour la qualité du service, l’honnêteté du discours, et une réelle capacité d’adaptation à la morphologie. Une très bonne adresse « insider », souvent recommandée par les professionnels. Bonus intéressant : Evalon distribue également les chemises Olymp, ce qui permet d’y faire un combo costume + chemise en une seule visite, avec un bon niveau de conseil.

Wickett, moins connue mais citée dans plusieurs recommandations, propose des costumes bien construits pour un budget moyen. Certains la préfèrent même à Fursac, avec un positionnement plus discret et un meilleur niveau de fabrication. Une option à envisager pour ceux qui souhaitent sortir des sentiers battus.

Berteil, discrète mais bien connue des initiés, est mentionnée comme une adresse solide pour des costumes bien coupés dans cette gamme de prix. Les retours évoquent une bonne régularité de fabrication, une coupe classique mais valorisante, et un bon niveau de service en boutique. À envisager en alternative aux marques plus visibles comme Fursac ou Hackett.

Samson est parfois mentionné comme une alternative pour les profils qui souhaitent tenter l’expérience du sur-mesure sans franchir le cap des maisons patrimoniales. Pour un budget autour de 1 000 €, il est possible de ressortir avec 2 ou 3 pièces bien construites, à condition de bien choisir la boutique : certains retours soulignent des vendeurs très rigides stylistiquement, peu enclins à écouter les demandes du client. En revanche, lorsqu’on tombe sur un bon interlocuteur, le résultat peut être très correct, avec des tissus variés et une confection propre. À considérer pour les profils curieux, mais à aborder avec exigence.

Hackett (en soldes) ou Loding peuvent aussi convenir, mais les retours sont plus tièdes. Hackett est perçu comme « un peu fade », Loding comme mal coupé et cher pour ce que c’est.

Haut de gamme (> 1 000 €)

Ici, on entre dans une logique patrimoniale : un costume qui vous accompagnera durablement, fait à la mesure, avec des tissus de maisons italiennes ou anglaises renommées.

Husbands revient dans presque tous les retours premium. Boutique située 57 rue de Richelieu, cette maison incarne le tailoring moderne à la parisienne : cols généreux, épaule naturelle, tissus Loro Piana ou Vitale Barberis. Pour certains consultants seniors ou Partners en PE, c’est une évidence. Pour d’autres, le style est trop marqué, presque vintage. À réserver aux profils à l’aise avec leur posture.

Willman n’est pas une marque mais une boutique multimarque confidentielle, spécialisée dans les pièces italiennes de très belle facture. La boutique revient dans plusieurs recommandations pour les profils expérimentés. Elle distribue des vêtements parfois créés spécifiquement pour la boutique, avec des tissus premium et des finitions haut de gamme. Appréciée des Partners, notamment en fonds ou boutiques M&A, elle propose des coupes sobres, une sélection de tissus italiens, et une confection qui reste dans les standards haut de gamme sans afficher les prix d’une maison de luxe. Moins connue que Husbands, mais valorisante dans les milieux exigeants.

Scavini, Ardentes Clipei ou Les Nouveaux Ateliers proposent des expériences de mesure plus sobres. Les prix vont de 900 à 2 000 € selon la construction (entoilé vs semi-entoilé), les finitions, et le niveau de personnalisation. Très bonne réputation sur la tenue dans le temps, mais attention : certaines boutiques imposent un délai de 5–7 semaines. Certains estiment que Nouveaux Ateliers reste « top » sur la qualité, mais que pour 1 500–2 000 €, mieux vaut aller chez Scavini ou Ardentes Clipei, qui permettent de faire de la vraie mesure à prix équivalent.

Brioni est mentionné dans une veine encore plus exclusive par certains banquiers confirmés comme un investissement statutaire, réservé à quelques Managing Directors ou ultra-seniors, souvent après le versement du bonus. Le style est résolument italien — épaules douces, revers généreux, coupe impeccable — et la qualité de fabrication est exceptionnelle. Les costumes sont confectionnés à la main, avec un niveau de finition exceptionnel, mais les tarifs dépassent très largement les 3 000 €. Clair avertissement : à ne considérer que pour un achat plaisir ou une logique patrimoniale de très haut niveau et rarement justifiable pour un profil junior, aussi exigeant soit-il.

Chemises pour hommes : la rigueur du col et la discrétion de la matière

Contrairement à ce que certains juniors peuvent croire, la chemise est bien plus que « ce qu’on cache sous la veste ». Dans un univers où la présentation est une donnée implicite de performance, une chemise mal repassée, mal coupée ou mal ajustée peut vous disqualifier en entretien comme en réunion. Plus encore que le costume, elle est le révélateur silencieux de votre compréhension des codes du milieu.

Les professionnels interrogés insistent sur trois critères :

  • une bonne tenue au col, notamment lorsqu’il est visible sans cravate,
  • un tissu suffisamment dense pour ne pas marquer à la transpiration,
  • et surtout une coupe nette, adaptée à votre morphologie sans excès de matière au dos ou sous les bras.

Entrée de gamme (30–70 €)

Charles Tyrwhitt s’impose comme une solution rationnelle et bien connue des insiders. Disponible en ligne avec livraison rapide depuis l’Angleterre, le rapport qualité/prix est jugé exemplaire : tissus Oxford ou popeline d’honnête tenue, coutures propres, repassage facile. À 4 chemises pour 139 €, cela permet de constituer une base sans faute pour les premières semaines de stage ou un début de CDI. Le seul reproche récurrent : une coupe parfois trop large en Regular Fit — mieux vaut opter pour le Slim ou Extra Slim.

Olymp, marque allemande plus discrète, est plébiscitée par ceux qui voyagent beaucoup ou ne repassent jamais. Les chemises non-iron sont très pratiques, notamment en conseil, où les journées s’étirent et les hôtels s’enchaînent. Le style est plus austère, les cols assez rigides, mais la tenue est irréprochable à ce prix (60–80 € selon les modèles). Présente chez Galeries Lafayette et sur leur site officiel.

Hawes & Curtis est également citée comme option qualitative, dans la veine de Charles Tyrwhitt, pour des chemises business à prix raisonnable.

Lanieri revient également dans plusieurs retours comme alternative italienne pour les chemises, notamment en “made to measure”.

Bexley est mentionnée, mais avec des avis très mitigés. Si le prix est imbattable (3 pour 100 €), les retours soulignent une matière « désagréable au toucher », une coupe trop droite, et une forte tendance au froissage. Certains retours vont jusqu’à qualifier la coupe de Bexley de « playmobil », soulignant une rigidité caricaturale. Recommandée uniquement si le budget est vraiment contraint.

Café Coton est également mentionnée, mais de façon très contrastée. Si la marque bénéficie d’une forte présence en galerie commerciale, plusieurs professionnels la jugent « datée », avec des modèles jugés peu élégants ou trop voyants. La qualité des matières est jugée très variable selon les collections, et les coupes rarement adaptées à une tenue stricte. À éviter pour les entretiens ou les environnements exigeants, mais peut convenir pour un usage plus occasionnel. Des messages évoquent aussi des incertitudes sur l’avenir de la marque, actuellement en recherche de repreneur. La marque continue de recevoir des retours très négatifs : « pire fraude de l’histoire » ou encore « même ton livreur ne veut pas les voler tellement elles sont cheum ». Avis tranché.

Milieu de gamme (80–150 €)

Figaret Paris a longtemps été la référence des jeunes banquiers français. Pourtant, les retours se sont durcis ces dernières années. Certains saluent toujours les coupes ajustées, la tenue du col, et la disponibilité en boutique (plusieurs adresses à Paris dont Rue de Sèvres et Place de la Madeleine). Mais d’autres dénoncent une hausse de prix injustifiée et une qualité perçue comme « en déclin ». En soldes, cela reste une option valable, mais à 130–150 € plein tarif, la concurrence est rude.

Bruce Field, moins médiatique, reçoit des retours solides. Fabriquées en Europe, les chemises sont propres, sobres, bien taillées. Le rapport qualité/prix est estimé « juste ». Le design est classique (pas de motifs modernes), mais efficace en banque ou en conseil, surtout pour ceux qui cherchent à constituer un vestiaire professionnel discret et durable.

SuitSupply, en plus des costumes, propose aussi une ligne de chemises intéressante à partir de 69 €. Le style est plus moderne, le col semi-italien très apprécié, et les tissus bien finis. Attention toutefois aux coupes parfois très ajustées, à éviter si vous ne portez pas votre chemise très près du corps.

Balthazar, marque distribuée au Bon Marché, est citée pour ses chemises sobres et bien construites, avec un coton de qualité et une coupe maîtrisée. Le prix (environ 100 € pièce) reste élevé pour un milieu de gamme, mais plusieurs retours soulignent une très bonne tenue dans le temps et un aspect premium qui justifie l’investissement pour ceux qui privilégient l’achat en boutique physique. À envisager en complément de Charles Tyrwhitt ou Bruce Field pour diversifier son vestiaire.

Hast est également mentionnée dans plusieurs retours comme une alternative solide dans cette gamme de prix. Les chemises en popeline double retors, proposées autour de 80 €, sont saluées pour leur qualité de tissu, leur confection sérieuse et un design épuré parfaitement adapté aux codes du M&A ou du conseil. Plusieurs professionnels soulignent une tenue du col irréprochable, une bonne résistance au lavage, et une coupe ajustée sans excès. Une très bonne option pour ceux qui veulent une chemise élégante et durable sans franchir le cap des 100 €.

Haut de gamme (150 € et plus)

À ce niveau, il ne s’agit plus d’acheter « une chemise de bureau », mais d’investir dans une pièce durable, bien construite, souvent montée en demi ou pleine mesure.

Husbands (encore eux) propose des chemises très haut de gamme, fabriquées au Portugal, à partir de tissus Thomas Mason ou Canclini. Le col milanais est particulièrement plébiscité, tout comme le plastron renforcé. On les retrouve sur des banquiers confirmés, notamment dans les cabinets de conseil en stratégie haut de gamme où l’élégance est sobre mais assumée.

Charvet, maison historique de la Place Vendôme, est le sommet du sur-mesure parisien. Les retours sont dithyrambiques sur la qualité des tissus, la finition, l’ajustement. En revanche, les prix commencent autour de 300–400 € pièce. À réserver aux Managing Directors, Partners, ou amateurs éclairés.

Chemiserie Courtot, pour ceux qui cherchent une alternative à Charvet, propose des chemises artisanales sur mesure avec un accueil reconnu. Le style est plus traditionnel, mais la qualité irréprochable.

Plusieurs retours insistent sur le très bon rapport qualité/prix des Nouveaux Ateliers (chemise sur mesure personnalisable garantie à vie). Le service de mesure est précis, le rendu très professionnel, et les prix restent raisonnables si vous en commandez plusieurs à la fois.

Conclusion intermédiaire

Dans le doute, mieux vaut une chemise blanche ou bleu ciel parfaitement repassée, même de milieu de gamme, qu’une chemise à col cassé mal coupée. En entretien, la tenue du col, la densité du tissu et la neutralité des tons priment largement sur la marque.

Chaussures pour hommes : rigueur au sol, crédibilité immédiate

Dans les métiers de la banque d’affaires, du private equity ou du conseil en stratégie, les chaussures sont souvent le premier détail scruté inconsciemment par vos interlocuteurs. En entretien, en salle de réunion ou lors d’un pitch, une paire bien choisie — propre, discrète, bien entretenue — affirme immédiatement un positionnement professionnel solide.

Et inversement, des chaussures fatiguées, éraflées, trop fantaisie ou mal cirées ruinent une tenue en deux secondes. Contrairement à une idée reçue, ce ne sont pas les paires les plus chères qui fonctionnent le mieux, mais celles qui respectent les codes : cuir lisse, forme sobre, couleur foncée, et semelle fine.

Entrée de gamme (100–200 €)

Bobbies est la marque la plus citée dans les retours positifs pour un premier équipement crédible à prix maîtrisé. Les modèles Richelieu en cuir noir ou marron foncé sont disponibles dès 160 €, avec une bonne tenue de la semelle, un cuir souple mais élégant, et une ligne adaptée aux métiers formels. La marque dispose d’une boutique 37 rue de Passy et propose régulièrement des promotions. Idéal pour un premier stage ou une alternance en M&A.

Rudy’s, souvent en promotion, permet de s’équiper autour de 100–130 €. Certains analystes en banque y ont acheté leurs premières paires pour leurs entretiens ou la semaine d’intégration. Cependant, les retours soulignent une durabilité très moyenne, avec des plis qui marquent rapidement et une semelle qui « fatigue vite ». Acceptable si vous êtes contraint par le budget, mais à éviter pour un usage intensif.

Loding est évoqué comme une fausse bonne idée. Le prix peut sembler compétitif (150–180 €), mais les retours soulignent une qualité perçue en net déclin, une forme souvent trop ronde, et une semelle très rigide. La paire donne une impression vieillotte, peu valorisante chez un junior.

Milieu de gamme (200–350 €)

Meermin, marque espagnole, est une valeur sûre pour un premier vrai équipement professionnel. Cousu Goodyear, cuir pleine fleur, formes équilibrées. Les modèles classiques de Richelieu ou derbies sont plébiscités, notamment en noir pour la banque ou en marron foncé pour le conseil. Rapport qualité/prix difficilement battable à ce niveau (environ 200 €). Un retour souligne que pour 200 €, les Richelieu Meermin sont “super solides” et imbattables. Une solution efficace pour allier tradition, confort et image professionnelle sérieuse.

Septième Largeur est la marque que de nombreux professionnels en M&A et conseil qualifient de meilleure option « premium abordable ». Le design est sobre, la semelle cousue Goodyear, les cuirs bien sélectionnés, et les conseils en boutique très appréciés (adresse : 59 rue Saint-Lazare, 75009 Paris). Une référence sérieuse pour tout junior qui veut investir sans ostentation.

Malfroid, boutique parisienne plus discrète, est mentionnée pour sa sélection pointue de chaussures formelles, avec un rapport qualité/prix jugé « imbattable » par certains juniors passés en banque. À visiter en physique pour apprécier les finitions.

Berwick ou Carmina, également espagnoles, sont moins présentes à Paris mais très bien notées dans les milieux financiers. Les retours soulignent une excellente construction, des formes classiques bien proportionnées et un bon vieillissement du cuir.

Haut de gamme (500 € et plus)

À partir de 500 €, il ne s’agit plus d’acheter « une paire pour aller au bureau », mais d’investir dans un soulier de tradition, durable, ressemelable, parfois sur mesure. À ce niveau, ce que vous payez, c’est la qualité du cuir, la finesse de la ligne, la construction intérieure, et la marque perçue.

J.M. Weston est la marque la plus citée chez les banquiers seniors et certains consultants expérimentés. Le modèle 180 Mocassin, bien ciré, est toléré dans la plupart des environnements formels (sauf chez certains MDs de M&A très old school qui ne jurent que par la Richelieu noire). Les Richelieu Weston sont quant à elles une référence absolue : robustes, élégantes, et très parisiennes. Boutique : 3 Bd de la Madeleine, 75001 Paris.

Church’s, maison britannique, revient dans plusieurs retours comme une option sérieuse pour ceux qui recherchent un soulier formel et durable, sans extravagance. Les modèles Richelieu classiques, en particulier la ligne Consul, sont salués pour leur équilibre entre discrétion, robustesse et confort au quotidien. Church’s séduit les profils exigeants qui souhaitent rester dans les codes stricts de la banque d’affaires tout en investissant dans une paire durable. À noter : certaines critiques évoquent une évolution stylistique depuis le rachat par Prada, avec des lignes plus mode sur certains modèles récents. À privilégier sur les collections classiques, disponibles notamment au 229 Rue Saint-Honoré, Paris 1er.

Crockett & Jones est recommandée pour débuter sérieusement avec de la vraie qualité anglaise, bon investissement long terme.

Luxe artisanal (au-delà du haut de gamme)

Pour certains professionnels passionnés ou ultra-exigeants, il ne s’agit plus simplement d’acheter une belle paire, mais de constituer un vestiaire pérenne fondé sur les plus hauts standards de fabrication. Ici, les marques relèvent davantage de la tradition que de la tendance : finitions à la main, cuirs rares, montage intégralement artisanal. Un choix statutaire, souvent patrimonial.

John Lobb, maison britannique, est au sommet du soulier business. Peu de retours, car peu de porteurs. Mais ceux qui en parlent évoquent une qualité de fabrication exceptionnelle, des patines maison, et un confort remarquable. À réserver aux Managing Directors ou Partners à la présentation irréprochable.

Corthay, plus confidentielle, est citée par deux professionnels comme une alternative haut de gamme, au style plus affirmé. Attention : la forme élancée, les couleurs parfois patinées, peuvent être perçues comme trop « créatives » en environnement bancaire traditionnel.

Berluti est parfois évoquée, souvent avec un ton mi-sérieux, mi-ironique — comme dans certains retours : « Minimum sous Berluti pour le stagiaire. » Derrière l’humour, la marque reste un symbole de raffinement absolu, avec des souliers en cuir patiné, faits main, et un niveau de finition remarquable. À plus de 1 500 € la paire, c’est un choix statutaire, réservé aux Managing Directors ou collectionneurs avertis, rarement justifié dans les premières années de carrière.

Pour les connaisseurs les plus exigeants, Alden, Edward Green ou Aubercy sont systématiquement citées comme des références absolues. Ces maisons, respectivement américaines, anglaises et françaises, incarnent le summum du soulier classique haut de gamme. La construction est irréprochable (Goodyear, peausseries haut de gamme, patines main, formes parfaitement équilibrées), et le service client souvent à la hauteur du positionnement. Bien sûr, les prix dépassent allègrement les 1 000 € par paire, mais dans une logique d’investissement à long terme pour une garde-robe professionnelle durable, élégante et cohérente, peu d’alternatives rivalisent.

Conclusion intermédiaire

Dans tous les cas, une chaussure bien entretenue (embauchoirs + crème + cirage) vaudra mieux qu’une paire coûteuse mais négligée. Et surtout, une bonne chaussure permet de supporter 12 heures debout sur un deal, sans douleur ni gêne. Ce détail, trop souvent négligé par les jeunes entrants, fait toute la différence après un closing difficile ou une due diligence à l’étranger.

Comprendre les termes techniques du costume professionnel

Dans ce guide, certains termes techniques sont utilisés car ils reviennent systématiquement dans les retours de professionnels du secteur. Voici les principaux à connaître :

  • Entoilé / Semi-entoilé / Thermocollé
    Cela fait référence à la construction interne de la veste.
    Entoilé : montage traditionnel avec une toile flottante cousue dans le tissu, gage de durabilité et d’élégance. Très haut de gamme.
    Semi-entoilé : compromis entre confort, structure et prix. Excellent rapport qualité/prix.
    Thermocollé : collage industriel, souvent utilisé sur l’entrée de gamme. Moins durable, moins naturel au porté.
  • Sur-mesure / Demi-mesure / Prêt-à-porter
    Sur-mesure : patronage unique à vos mesures, essayages multiples, finitions haut de gamme.
    Demi-mesure : patron de base ajusté à vos mensurations. Moins précis que le sur-mesure, mais beaucoup plus accessible.
    Prêt-à-porter : tailles standardisées, sans ajustement. La retouche reste indispensable.
  • Couture Goodyear
    Méthode de montage traditionnelle pour les chaussures : la semelle est cousue (et non collée) à une trépointe, elle-même cousue à la tige.
    → Avantages : solidité, confort sur le long terme, ressemelage possible.
    → Présent chez Meermin, Crockett & Jones, Septième Largeur…
  • Revers / Col
    Revers à cran : le plus classique, adapté aux environnements formels.
    Revers en pointe : plus habillé, typique des costumes à double boutonnage ou des pièces haut de gamme.
    Col milanais : col de chemise renforcé, très structuré, souvent plébiscité chez Husbands ou Charvet.
  • Tombé
    Terme utilisé pour qualifier la manière dont le costume “tombe” naturellement sur le corps. Un bon tombé implique un tissu fluide, bien coupé, qui épouse la silhouette sans faux plis ni tensions.

Tenue professionnelle pour femmes en M&A, conseil en stratégie et private equity : rigueur, confort, et contrôle de l’image

Si les codes vestimentaires féminins sont moins rigides que ceux imposés aux hommes, ils sont aussi plus ambigus — et parfois plus injustes. Dans les métiers du M&A, du Private Equity ou du Conseil en Stratégie, les attentes restent implicites mais bien réelles : pas d’excentricité, pas d’erreur de ton, et surtout pas d’ambiguïté sur le degré de formalité attendu.

Les témoignages que nous avons analysés — jeunes consultantes chez BCG, analystes chez Rothschild, stagiaires en fonds, MDs dans des banques américaines — soulignent toutes une même réalité : la tenue ne doit jamais devenir le sujet de discussion. Elle doit inspirer sérieux, rigueur, et une certaine neutralité haut de gamme.

Tailleurs, pantalons et vestes : structure et neutralité d’abord

Pour les costumes féminins, les attentes ont évolué. Le tailleur strict avec jupe droite et veste cintrée n’est plus la norme. On privilégie aujourd’hui des ensembles pantalon + blazer, dans des tons neutres (gris, marine, noir, beige), avec une matière fluide mais structurée.

17h10
Toujours en tête des recommandations. Pensée par des anciennes consultantes, cette marque coche toutes les cases : coupe nette, tissus italiens, sobriété maîtrisée. Le tailleur “Violette” (pantalon droit + veste droite) reste la référence pour des entretiens ou des journées client. Boutique : 36 Rue de Sévigné, 75003 Paris.

Admise Paris
Mentionnée positivement pour son rapport qualité-prix sur le segment semi-formel, avec des coupes moins traditionnelles mais toujours calibrées pour les environnements corporate. Moins rigide que 17h10, mais suffisamment structuré pour les grands cabinets. Boutique : 43 rue de la Folie-Méricourt, 75011 Paris.

Next (UK)
Marque citée comme pépite peu connue : tailoring solide, coupe flatteuse, résistance dans le temps. Disponible uniquement en ligne en France, mais recommandée par plusieurs banquières pour sa durabilité après plusieurs années de port régulier.

COS / & Other Stories / Maison Standards
Mentionnées comme alternatives fiables, surtout pour les vestes fluides et pantalons taille haute bien coupés. Attention toutefois à la gestion des tailles et aux matières parfois moins respirantes.

Uniqlo
Toujours citée pour ses basics. Pantalons droits, vestes cintrées, chemisiers sobres à petits prix. Adaptée aux profils juniors, stages ou premiers CDI. Néanmoins, plusieurs retours mentionnent une coupe peu adaptée aux personnes de grande taille (pantalons trop courts).

Sandro / Maje / Claudie Pierlot / Gérard Darel / Reiss / Hugo Boss / Theory
Mentionnées systématiquement, notamment pour certains ensembles sobres et bien coupés, à condition de rester sur les lignes les plus classiques. Les retours sont clairs : coupes flatteuses, marketing efficace, mais qualité irrégulière selon les collections. À privilégier en soldes. Hugo Boss reste une valeur sûre en haut de gamme (mentionnée plusieurs fois), avec un excellent tombé et des matières nobles. Theory et Reiss sont appréciées dans les fonds anglo-saxons.

Autres marques citées :

  • Zapa / Sisley / Bruce Field : quelques bons retours sur les tailleurs.
  • Massimo Dutti / Kookai : citée spécifiquement pour ses pantalons, bien coupés et abordables.
  • Vanessa Bruno / Ba&Sh / Agnès B / Isabel Marant : des retours positifs mais uniquement en budget haut ou pour certaines pièces.
  • The Frankie Shop (rue Saint Claude, 75003) : plusieurs mentions pour ses tailleurs oversized, bien que parfois trop avant-gardistes pour certains environnements stricts.
  • H&M : pantalons au bon rapport qualité/prix.

Quelques suggestions post-bonus ont également été partagées par des professionnelles confirmées : Max Mara et Tod’s pour des pièces premium très bien coupées (manteaux, pantalons, escarpins), Reformation, Ganni et Self-Portrait pour des blouses ou tailleurs plus originaux mais réservés à un environnement plus créatif ou à des fonctions non client-facing.

Chemisiers, blouses et tops professionnels : lisibilité et tenue

Contrairement aux hommes, les femmes ont plus de liberté sur le haut… mais cela complique souvent le choix. Trop fluide ? Trop ajusté ? Trop transparent ? Une bonne pièce doit être à la fois lisse visuellement, résistante à la lumière, et compatible avec le port d’un blazer fermé ou ouvert.

Figaret
Jugée haut de gamme, parfois un peu chère, mais avec des modèles féminins bien taillés. Appréciée tant pour ses chemisiers classiques que pour ses blouses habillées.

Massimo Dutti
Recommandée pour les chemisiers structurés et les pantalons, mais avis nuancés. Certaines trouvent les matières impeccables (coton épais, soie mélangée), d’autres critiquent un rapport qualité/prix trop faible pour un usage intensif.

Café Coton
Plusieurs retours soulignent également la fiabilité des chemisiers cintrés homme de chez Café Coton… mais avec de fortes réserves. Si certaines les recommandent pour leur tombé, d’autres évoquent un déclin important de la qualité, voire une fermeture prochaine de la marque. Mention à titre informatif, mais non recommandée pour un usage quotidien exigeant.

Sézane / Soeur / Maria de la Orden / Pablo
Souvent citées pour leurs blouses sobres, notamment en blanc ou bleu ciel. Certaines coupes sont très adaptées aux codes du conseil ou de l’audit (col fermé, manches longues, matière opaque). Attention toutefois aux motifs ou détails fantaisie.

Uniqlo
Mention honorable pour les chemises blanches en coton, notamment en période de soldes. Les chemises “non iron” sont recommandées par plusieurs stagiaires. Mais des retours indiquent une qualité inégale sur certaines pièces.

Charles Tyrwhitt (pour femme)
Mentionnée pour la qualité du coton et la coupe anglaise, même si peu distribuée en boutique en France. Achat en ligne recommandé.

Zara
Avis mitigés : certains modèles fonctionnent, mais qualité variable selon les matières. À éviter sur les chemises transparentes ou trop synthétiques.

Autres marques citées :

  • Maison 123 : adapté aux petits budgets avec coupes féminines.
  • Monoprix / Cyrillus / Pablo : recommandés pour des hauts simples mais élégants.

Chaussures : stabilité, élégance et investissement

Les chaussures sont peut-être le poste le plus critique : elles doivent tenir 14 heures par jour, ne pas “claquer” au sol, et rester impeccables malgré la pluie ou les escaliers du client. La recherche est donc triple : confort, résistance et silhouette sobre.

Jonak
Recommandée pour ses slingbacks plats et ballerines structurées (modèle Coline souvent cité). Mentionnée comme le meilleur compromis confort/style pour les junior M&A ou les consultantes terrain.

Carel
Plébiscitée pour ses escarpins bas et stables. Design légèrement rétro, mais très apprécié par les profils confirmés. Boutique : 2 rue Tronchet, 75008 Paris.

Flabelus / Bobbies
Citées pour leurs mocassins féminins de bonne facture. Bobbies revient souvent pour les modèles en cuir grainé et semelles renforcées.

Autres marques évoquées :

  • Minelli / Bocage : pour des modèles classiques à prix contenu.
  • Kookai / COS / Sézane : certains modèles de ballerines, mocassins plats et bottines d’hiver reviennent positivement.
  • The Kooples / Repetto : parfois cités, mais avis contrastés sur le confort.

Conclusion : investir intelligemment dans sa garde-robe professionnelle

Dans les métiers où la performance se mesure à la rigueur, la tenue vestimentaire est le reflet de votre discipline structurelle. Un costume trop grand, des chaussures fatiguées ou une chemise à col mou peuvent suffire à brouiller le message que vous voulez faire passer, notamment en entretien ou face à un client.

Ce guide ne prétend pas dicter une esthétique uniforme, mais il donne des repères fondés sur la pratique réelle des professionnels du secteur. En arbitrant intelligemment selon votre budget, votre morphologie et votre niveau d’ancienneté, vous pouvez construire une garde-robe sobre, durable et parfaitement alignée avec les exigences de la banque d’affaires ou du conseil.

Règle d’or : mieux vaut posséder trois pièces solides et cohérentes que dix médiocres. Et investir dans une paire de chaussures ressemelables, une chemise qui tient sa structure, et un blazer correctement cintré vous fera économiser en crédibilité ce que vous auriez perdu en apparence.

FAQ – Les questions les plus posées par les étudiants et jeunes professionnels

Quelles sont les meilleures marques de costumes pour un stage en M&A ?

Pour un budget maîtrisé, SuitSupply, Evalon, Jonas & Cie et Boggi sont les marques les plus recommandées. Si vous avez un budget inférieur à 400 €, orientez-vous vers SuitSupply en période de soldes.

Quelle chemise porter pour un entretien dans un fonds de Private Equity ?

Optez pour une chemise blanche ou bleu ciel, bien repassée, avec un col structuré (semi-italien ou classique). Charles Tyrwhitt, Olymp, ou Figaret (en soldes) font parfaitement l’affaire.

Puis-je porter des mocassins en conseil en stratégie ?

Oui, mais uniquement s’ils sont sobres (cuir noir ou marron foncé) et bien entretenus. Le modèle 180 de Weston est toléré dans la majorité des cabinets à Paris. Évitez les semelles épaisses ou les couleurs claires.

Quels vêtements éviter absolument en banque ?

Les marques Zara, Devred, Sézane, ou & Other Stories sont jugées inadaptées pour des postes exigeant une image rigoureuse. On évite également les costumes cintrés aux épaules tombantes ou les chemises à motifs excentriques.

Où acheter un tailleur femme crédible à Paris ?

Les retours les plus positifs concernent 17h10 (36 Rue de Sévigné), Admise Paris, et Hugo Boss Femme. Uniqlo est plébiscité pour débuter, en choisissant les coupes les plus sobres.

Et si je n’ai pas le budget pour un costume neuf de qualité ?

Pensez à Vinted. Vous pouvez y trouver de grandes marques à prix bradés. Faites d’abord un repérage en boutique pour connaître votre taille et la coupe qui vous va, puis chassez en ligne.

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