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Formation en ligne pour réussir ses entretiens en finance

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Formation en ligne pour réussir ses entretiens en finance

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Réussir un entretien en finance – que ce soit pour un stage en M&A, une offre en private equity ou un poste en analyse financière – ne repose plus uniquement sur un bon CV ou un diplôme d’école cible. Les recruteurs attendent des candidats capables de démontrer, en 30 à 45 minutes, une maîtrise technique solide, une posture professionnelle irréprochable, et une compréhension précise des enjeux business.

Dans un contexte où la concurrence est de plus en plus intense, notamment parmi les étudiants issus des meilleures écoles françaises (HEC, ESSEC, ESCP, Polytechnique, Centrale, etc.), la préparation ne peut plus se limiter à quelques fiches ou à un oral simulé entre camarades.

Ce qu’exigent aujourd’hui les banques d’affaires, fonds ou corpo, c’est une performance fluide, structurée, et crédible face à des professionnels expérimentés.

C’est précisément là qu’une formation en ligne dédiée prend tout son sens.

  • Accessible à tout moment, elle permet une progression autonome mais encadrée.
  • Structurée par des professionnels en poste, elle colle aux standards réels du marché.
  • Enrichie de cas pratiques, de questions tombées, et de corrections détaillées, elle remplace avantageusement des dizaines d’heures de recherche éparpillée.

Dans cet article, nous allons expliquer :

  • pourquoi une formation digitale bien conçue est aujourd’hui indispensable pour se démarquer,
  • ce qu’elle doit absolument contenir pour être crédible,
  • et pourquoi Crack-It s’est imposé comme la référence pour les étudiants qui veulent réussir leur entrée dans les métiers financiers les plus sélectifs.

Pourquoi une formation en ligne est devenue indispensable

a) Un niveau d’exigence de plus en plus élevé en entretien

Les recruteurs ne se contentent plus de vérifier si tu sais faire un DCF ou répondre à « Pourquoi la finance ? ». Ils attendent des candidats capables de :

  • résoudre à froid un business case structuré (LBO simplifié, bridge equity-enterprise value, relution/dilution…) ;
  • tenir un discours fluide, logique, sans approximation, même face à des interlocuteurs agressifs ;
  • se différencier immédiatement par la clarté du raisonnement, le niveau d’expression, et la posture professionnelle.

Les meilleurs candidats ne sont pas seulement “bons” : ils sont entraînés.

b) Le temps est limité, la compétition est permanente

Tu n’as que quelques semaines entre la candidature et le premier entretien, parfois moins.

Dans cet intervalle, il faut :

  • revoir tous les fondamentaux techniques (comptabilité, valorisation, modélisation, etc.) ;
  • structurer son pitch personnel et ses réponses de fit ;
  • s’entraîner sur des questions réelles tombées en process.

Une formation en ligne bien conçue permet de concentrer tout cela au même endroit, sans perte de temps. Elle remplace :

  • 20 heures à éplucher des forums,
  • 15 PDF contradictoires lus à moitié,
  • des simulations de mauvaise qualité entre amis pas forcément qualifiés.

c) Le format digital permet un apprentissage flexible, mais rigoureux

Les étudiants des meilleures écoles ont peu de disponibilité. Entre les cours, les examens, les stages, et parfois un échange académique à l’étranger, l’organisation classique ne fonctionne pas.

Une formation en ligne :

  • permet de progresser à son rythme, sans contrainte d’horaire,
  • favorise la répétition ciblée (tu revois ce que tu ne maîtrises pas encore),
  • t’offre un accès immédiat à des ressources de haut niveau, conçues par des banquiers en poste.

En bref : c’est l’outil qui te donne l’autonomie d’un travail individuel avec la rigueur d’un programme structuré.

Ce que les recruteurs attendent vraiment en entretien

Un bon recruteur ne cherche pas un étudiant qui « connaît ses formules Excel ». Il cherche un futur collègue capable, dès le premier jour, de s’intégrer dans une équipe exigeante, de traiter des sujets sensibles, et de représenter l’équipe face à un client.

Voici ce que les professionnels de la banque d’investissement attendent réellement lors d’un entretien :

a) Une maîtrise technique fluide, pas récitative

Les questions techniques sont là pour évaluer ton niveau, mais aussi ta capacité à raisonner sous pression. Ce qu’on attend :

  • Savoir dérouler un DCF proprement, sans réciter.
  • Expliquer un bridge entre Equity Value et Enterprise Value, avec clarté.
  • Analyser les effets d’un LBO ou d’une variation de BFR sur la dette nette.
  • Réagir à des cas ouverts comme “Faut-il racheter cette entreprise déficitaire ?”

Les réponses doivent être argumentées, justes, et adaptées au contexte, pas apprises par cœur.

b) Un storytelling personnel crédible et différenciant

La majorité des candidats échouent parce que leur discours est trop générique.

“J’aime la finance parce que j’ai fait une étude de cas en école.”
“J’ai découvert le M&A pendant un forum.”
“Je veux travailler dans un environnement dynamique.”

Ce genre de phrases ne convainc aucun professionnel.

Ce qu’on attend :

  • Un pitch clair qui raconte un parcours cohérent (pas forcément linéaire, mais maîtrisé),
  • Une motivation précise, reliée à des expériences vécues,
  • Une capacité à projeter dans l’équipe, avec un ton professionnel, jamais scolaire.

c) Une posture de jeune professionnel, pas d’étudiant

Le non-verbal compte autant que le fond. Ce qu’un recruteur évalue aussi :

  • Ton niveau de langage : rigueur, concision, pas de tics de langage.
  • Ton calme face aux relances : rester solide même si tu ne sais pas répondre.
  • Ta capacité à écouter et structurer tes réponses sans te perdre dans les détails.

En entretien, tu ne vends pas ton école. Tu vends ta capacité à être un Analyste opérationnel dès demain matin.

Les limites de la préparation autodidacte ou académique

Les étudiants issus des grandes écoles de commerce ou d’ingénieurs en France bénéficient d’une base solide : rigueur analytique, capacité d’apprentissage rapide, niveau technique élevé. Pourtant, cela ne suffit pas pour réussir un entretien en finance d’entreprise ou en banque d’investissement. Voici pourquoi :

a) Des cours trop théoriques, déconnectés de la pratique

Même dans les meilleurs masters, les cours de corporate finance ou d’analyse financière restent souvent :

  • académiques, avec peu de lien concret avec les méthodes utilisées par les professionnels,
  • hors-sol, avec des cas génériques qui ne reflètent pas les vraies attentes des banquiers.

Exemple : beaucoup d’étudiants savent faire un DCF, mais rares sont ceux capables d’en expliquer les limites, de challenger les hypothèses ou de comparer les méthodes de valorisation selon le type de deal.

b) Des préparations solos inefficaces ou chronophages

Certains étudiants tentent de s’auto-former via des ressources anglophones (WSP, M&I, Breaking Into Wall Street). Mais :

  • Le contenu est pensé pour le marché anglo-saxon, pas pour le process français (pas de focus sur le rôle des RH, la forme du CV français, ou les subtilités des réponses en français).
  • Trop d’informations tuent la compréhension : sans accompagnement, difficile de savoir quoi prioriser.
  • Pas de feedback direct, ce qui empêche de progresser rapidement sur ses faiblesses.

c) L’illusion de “faire des entretiens blancs entre potes”

Beaucoup d’étudiants font des simulations entre eux. Bonne idée sur le principe… mais mauvaise exécution :

  • Le niveau des questions est souvent trop faible ou mal ciblé.
  • Personne ne connaît les vrais retours terrain des banquiers sur ce qui fait la différence.
  • On prend de mauvaises habitudes : phrases longues, trop d’anglicismes, discours flous non corrigés.

Ce type de préparation peut même renforcer de mauvais réflexes au lieu d’augmenter ses chances.

d) L’absence de confrontation réelle à la pression

Un vrai entretien, c’est :

  • 20 minutes pour convaincre, face à des professionnels qui jugent ta clarté, ta maturité et ton niveau technique sans filtre.
  • Une capacité à structurer une réponse sur un cas jamais vu, en 30 secondes.
  • Un stress réel, qui ne peut pas être simulé seul dans sa chambre.

Sans mise en situation sérieuse, même les meilleurs profils peuvent s’effondrer sur des questions simples.

L’intérêt du coaching ciblé et des simulations professionnelles

Face aux limites de la préparation classique, le recours à un coach expérimenté ou à des simulations professionnelles peut faire une différence décisive. Il ne s’agit pas d’un luxe, mais bien d’un levier stratégique pour maximiser ses chances face à des process ultra-compétitifs.

a) Un diagnostic précis de ton niveau

Un bon coach n’est pas là pour te réciter des cours de finance. Il commence par :

  • évaluer ton niveau technique réel (DCF, multiples, accretion/dilution, LBO, etc.),
  • tester ton storytelling personnel (pitch, réponses aux questions de fit, motivations),
  • identifier tes biais de langage, ton niveau de stress, ton rythme verbal.

Tu obtiens ainsi un retour franc, objectif et structurant, impossible à avoir seul ou entre étudiants.

b) Des simulations réalistes, dans les conditions d’un vrai entretien

Le coaching permet de :

  • te confronter à des cas concrets inspirés de vrais entretiens récents (notamment grâce aux compilations de Crack-It),
  • t’habituer à répondre sous pression, sans préparation écrite,
  • entraîner tes réflexes mentaux sur les questions inattendues (mécanismes de dilution, bridge P&L → FCF, etc.),
  • travailler la clarté et la concision, éléments sous-estimés mais souvent déterminants.

Résultat : tu progresses plus vite et tu gagnes en sérénité.

c) Un coaching orienté résultat (et non théorie)

Les meilleurs coachs ne te noient pas sous la théorie. Ils t’apprennent :

  • ce que les recruteurs attendent réellement à chaque étape,
  • comment orienter ta réponse en fonction du profil du recruteur (banquier junior, MD, RH),
  • comment gérer les objections, les silences ou les relances désagréables.

C’est un entraînement orienté efficacité : “comment obtenir l’offre”, pas “comment réciter un cours”.

d) Un accompagnement qui permet de prendre du recul

Un bon coaching permet aussi :

  • de reprendre confiance après une série d’échecs,
  • de clarifier ta stratégie de ciblage (tiering, cabinets à viser selon ton profil),
  • de comprendre pourquoi tu n’es pas passé au tour suivant, avec des hypothèses concrètes à tester.

Beaucoup d’étudiants brillants perdent du temps en appliquant sans feedback. Un coach permet de corriger la trajectoire plus tôt.

Les entretiens blancs dans des banques secondaires comme alternative

Même si tu n’as pas accès immédiatement à un coach ou si tu veux multiplier les occasions de t’entraîner en conditions réelles, passer de “vrais” entretiens dans des structures moins prioritaires peut être une stratégie redoutablement efficace.

a) Pourquoi s’entraîner sur des process réels ?

Parce qu’aucun entraînement en école ou entre amis ne reproduit fidèlement :

  • la pression psychologique d’un vrai process (mails, délais, visios ou entretiens sur site),
  • la fatigue mentale d’un process multi-tours (fit, technique, case study, market sizing…),
  • l’impact de chaque mot dans une vraie situation à enjeu.

Tu découvres aussi des questions nouvelles, parfois impossibles à anticiper (notamment sur ton parcours, ou des cas métiers propres à certaines banques).

b) Cibler intelligemment les institutions secondaires

Il ne s’agit pas de “brûler une cartouche” au hasard. On parle ici de :

  • petites boutiques en M&A ou corporate finance (ex : cabinets locaux, BCF, ou M&A de banques régionales),
  • banques de réseau avec activité advisory, type Crédit Agricole Régions, BPCE Ingénierie Financière, etc.,
  • fusions-acquisitions internes (ex : équipes M&A corporate de grands groupes, Family Offices).

Ces process sont moins médiatisés, souvent plus rapides, et te permettent de tester ton pitch, tes réflexes techniques et ton aisance face à des pros.

c) Objectif : se roder, pas forcément signer

La démarche doit être lucide : tu ne postules pas forcément pour rester dans la structure. Tu postules pour :

  • valider ton niveau actuel de préparation,
  • t’exposer à de vrais recruteurs, avec une incertitude sur les questions posées,
  • répéter les tours d’entretien, pour arriver affûté face aux Tier 1 (Goldman Sachs, Lazard, Rothschild, etc.).

C’est aussi un moyen d’obtenir des retours que tu n’aurais pas autrement – même implicites (vitesse de réponse, durée des échanges, feedback RH…).

d) Une stratégie qui permet de se démarquer

Beaucoup d’étudiants attendent “le bon moment” pour postuler. Ceux qui ont testé plusieurs entretiens avant les vraies échéances :

  • arrivent avec un discours déjà rodé,
  • savent où sont leurs points faibles (et les ont corrigés),
  • comprennent comment fonctionnent les dynamiques de recrutement (mots clés, codes implicites, faux pas à éviter…).

Ils décrochent plus souvent des offres dans les cabinets qu’ils visaient initialement. Ce n’est pas de la théorie : c’est ce que montrent les comptes rendus compilés sur Crack-It.

Comment utiliser les comptes rendus d’entretien pour mieux se préparer

Accéder à des comptes rendus d’entretien récents et fiables est un avantage stratégique majeur. Bien utilisés, ils te permettent d’anticiper, de te calibrer, et d’éviter les erreurs les plus fréquentes. Mais encore faut-il savoir s’en servir correctement.

a) Pourquoi les comptes rendus sont si précieux

Un bon compte rendu, surtout quand il est détaillé et rédigé par un étudiant sérieux, te permet de :

  • comprendre la structure exacte du process : combien de tours, quelles typologies de questions, quelles personnes rencontrées,
  • anticiper les questions de fit spécifiques à chaque banque (ex. : chez Rothschild Paris, le CV est souvent challengé ligne par ligne),
  • saisir le niveau technique réellement attendu (papier LBO, valorisation, market sizing, etc.),
  • repérer les pièges ou les attentes implicites (attitude, réactions face à la pression, posture face à un MD…).

b) Savoir trier entre les bons et les mauvais comptes rendus

Tous les comptes rendus ne se valent pas. Il faut savoir filtrer :

  • ceux qui datent de plus de 12 mois (souvent obsolètes),
  • ceux trop vagues (« quelques questions de fit puis un cas simple »),
  • ceux qui manquent de structure ou de contexte (pas de nom d’intervieweur, pas de date, pas de banque clairement identifiée).

Sur Crack-It, les comptes rendus sont triés par banque, millésime, et niveau de détail, ce qui permet de gagner du temps et de ne pas se perdre dans des forums désorganisés.

c) Comment bien les exploiter concrètement

Lecture active recommandée :

  • prends un carnet (ou Notion, Word, peu importe),
  • note toutes les questions qui reviennent,
  • classe-les par catégorie : fit (motivation, comportement), technique (DCF, multiples, LBO…), marché (actualité, secteurs), brainteasers.

Puis :

  • entraîne-toi à répondre à voix haute,
  • demande à un ami ou à un coach de te poser les questions à l’aveugle,
  • mets-toi en condition réelle avec chrono et pression.

d) Une base de données utile jusqu’à la dernière minute

Même la veille de ton entretien, une relecture ciblée des CR des années précédentes dans la banque visée peut te donner :

  • des éléments de langage à intégrer,
  • un sentiment de déjà-vu qui rassure,
  • ou une alerte sur une question improbable mais déjà tombée (ex. : “quelles différences entre goodwill et badwill ?” posé chez Alantra).

Quelle formation choisir selon son niveau

Face à la profusion d’offres, choisir la bonne formation pour réussir ses entretiens en finance dépend avant tout de ton niveau de préparation actuel, de ton objectif cible (banque Tier 1, mid cap, stage de césure, CDI) et du temps disponible avant l’entretien. Voici une grille claire et concrète pour t’orienter.

a) Tu débutes ou tu viens d’une filière non financière

Objectif : acquérir les bases solides en finance d’entreprise et comprendre les attentes du process.

Tu dois commencer par une formation structurée couvrant les fondamentaux :

  • lecture de comptes, agrégats financiers (EBITDA, FCF),
  • valorisation (DCF, comparables, multiples),
  • LBO (structure, logique, acteurs),
  • types de missions, rôle d’un analyste.

Recommandé :

  • une formation progressive, bien séquencée, avec des quiz pour t’auto-évaluer,
  • un accompagnement par des coachs ou des forums pour poser tes questions.

La formation Crack-It “Fusions et Acquisitions – Niveau Débutant à Avancé” est conçue exactement pour ce cas, avec des vidéos pas à pas, des cas pratiques, et un accès à une communauté.

b) Tu as déjà une première base (cours, césure, formation)

Objectif : te calibrer techniquement et te démarquer en entretien.

Tu dois maintenant :

  • perfectionner tes cas techniques (papier LBO, DCF à la main),
  • travailler la clarté de ta communication,
  • anticiper les objections classiques (CV, faiblesse, incohérence…).

Recommandé :

  • formations axées sur les questions types, avec feedbacks personnalisés ou simulations,
  • entraînements sur cas techniques chronométrés et correction détaillée.

L’approche Crack-It ici consiste à croiser les modules techniques avec les comptes rendus vérifiés, pour viser juste à chaque banque.

c) Tu passes tes derniers entretiens dans moins d’un mois

Objectif : passer à un niveau “final round ready”.

Tu es censé :

  • maîtriser tous les basiques,
  • t’exprimer avec précision,
  • avoir une réponse claire à chaque angle d’attaque (fit, trou dans le CV, deal préféré…).

Recommandé :

  • simulations d’entretien avec des coachs en M&A en poste,
  • relecture stratégique de comptes rendus récents,
  • mise à jour des dossiers d’actualité (secteur, taux, inflation, M&A récent…).

Crack-It propose ici un accès aux coachs classés par banque, et des comptes rendus détaillés pour cibler chaque entretien. C’est l’étape finale avant la signature.

Les erreurs classiques à éviter

Même les candidats brillants des meilleures écoles échouent parfois aux entretiens pour des erreurs évitables. En t’appuyant sur les milliers de cas analysés sur Crack-It, voici les pièges les plus fréquents que nous voyons encore chez des candidats pourtant bien formés.

a) Se concentrer uniquement sur les aspects techniques

Erreur : croire que maîtriser le DCF ou le LBO suffit à réussir.
Conséquence : tu échoues sur des questions de fit, de motivation, ou de storytelling personnel.

À faire : équilibrer ta préparation entre technique, fit, compréhension du secteur, et communication.

b) Réciter des réponses apprises par cœur

Erreur : répondre de manière robotique, avec des phrases formatées entendues 100 fois.
Conséquence : tu parais peu authentique, et les recruteurs te “débranchent”.

À faire : structurer tes réponses avec logique et naturel, tout en conservant un fond solide.

c) Négliger la préparation spécifique à chaque banque

Erreur : envoyer la même préparation pour Rothschild, Alantra, Natixis ou Lazard.
Conséquence : tu échoues à démontrer que tu comprends la culture et les spécificités de la banque.

À faire : t’appuyer sur les comptes rendus d’entretien pour adapter ton discours (question fréquente, style des partners, cas donnés…).

d) Ne pas faire de vraies simulations

Erreur : penser qu’un entraînement seul ou avec un ami suffit.
Conséquence : tu n’es pas prêt au stress réel, aux questions piégeuses ou aux réactions à froid.

À faire : t’entraîner avec des coachs en poste ou passer des entretiens dans des structures secondaires pour t’aguerrir.

e) Oublier de se mettre à jour sur l’actualité financière

Erreur : ne pas suivre les deals récents, les tendances de taux, l’évolution des multiples.
Conséquence : tu sembles déconnecté du marché et pas “ready to work”.

À faire : suivre la presse spécialisée (Les Échos, Reuters Deals, MergerMarket…), réviser les deals récents par secteur.

f) Surestimer le niveau attendu… ou le sous-estimer

Erreur : croire que le niveau est trop élevé (et abandonner), ou au contraire, arriver en tour final sans avoir bossé.
Conséquence : dans les deux cas, tu es à côté du niveau attendu.

À faire : calibrer ton niveau via des tests ou des retours précis, comme ceux disponibles dans la formation Crack-It ou via les coachs.

Conclusion : investir sur soi, maintenant

Réussir ses entretiens en finance d’entreprise, que ce soit en M&A, en private equity ou en TS, ne repose pas uniquement sur l’excellence académique. Ce qui fait la différence, c’est la préparation ciblée, structurée et cohérente, réalisée avec les bons outils et au bon moment.

Face à une concurrence croissante, il est aujourd’hui indispensable de professionnaliser sa démarche : maîtriser les techniques, comprendre les attentes des recruteurs, travailler son positionnement personnel, s’entraîner en conditions réelles. C’est ce que permet une bonne formation en ligne, pensée par des professionnels du secteur.

Pourquoi choisir Crack-It ?

Crack-It est aujourd’hui la plateforme de référence en France pour se préparer aux entretiens en finance, avec :

  • Une formation complète couvrant l’ensemble des volets (technique, fit, marché, structure des process) ;
  • Des compilations exclusives de comptes rendus d’entretien, actualisées chaque semaine ;
  • Des coachs issus des meilleures banques (Lazard, Rothschild, PJT, etc.) disponibles pour des sessions individuelles ;
  • Un forum public et gratuit pour poser toutes ses questions et échanger avec les autres candidats.

Ce que tu peux faire maintenant

  1. Commencer la formation complète en ligne, accessible à tout moment depuis ton espace membre :
    👉 https://www.crack-it.fr/courses/fusions-et-acquisitions/
  2. Accéder aux compilations de comptes rendus pour identifier les questions tombées dans ta banque cible :
    👉 https://www.crack-it.fr/compte-rendu-entretien/
  3. Réserver une session avec un coach en M&A :
    👉 https://www.crack-it.fr/coaching/

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